Sombre et tourmentée, tu frissonnais de douceur et de tendresse. Dans notre quotidien, tu apportais ta grâce et ta présence délicate.
Tu te distinguais par ta crainte de l’extérieur et ta présence discrète à la maison. Mais dès que tu te sentais dans suffisamment d’espace pour te sentir libre… tu te transformais en magnifique figure mouvante… et qui toujours revenait vers ma main rassurante.
Nikita… tu me manques. Et je n’ai qu’un regret : ne pas avoir su t’offrir la liberté qui me manque aussi.
Que ton âme soit en paix. Tu m’as apporté plus que beaucoup d’humains.
Laure